On devient vieux le jour ou on renon a devenir punk ou poete et pour Managueure, perso, je dirais a etre curieux, a renoncer a mes reves, a danser meme en plein jour avec mon petit ange un beau samedi matin d'hiver aux sons d'une musique orientale entrainante et a ecouter mes vinyles et le blues.

La curiosite et la musique representent mon oxygene spirituelle sans lesquelles il me seraient tres difficile de respirer et tenir parfois au boulot des heures durant devant ce putin d'ecran d'ordinateur, telle une drogue j'en ai besoin et je m'en fout royalement d'ecouter un peu de disco Tunisienne ou de proto eclectro Algerien, du blues du fin fond du Mississipi, du rock sale made la grosse pomme, du G-FUNK arrose au soleil de LA, du jazz Japonnais ou de faire un back flip to the past et reecoute du NTM ou DJ king of zoulous Dee Nasty tant que la vibe est la et que je peux partir en voyage musicale mentale tel Dr. Strange grace a mon troisieme oeil.

Alors pour ce shabbat, comme souvent je voulais ecouter du blues, JB Lenoir n'est pas le plus connu de ces compteurs mais quelle spiritualite dans sa voix, et pour shabbat, quoi de mieux qu'un peu de spiritualite meme musicale pour se remettre le coeur a l'endroit dans un monde ou Donald Trump (rien que le nom donald, lol) est devenu le president du monde, ou l'on massacre a Alep et dans toute la Syrie depuis tant d'annee (j'espere que l'histoire jugera Barak Obama pour sa responsabilite dans le massacre de tant d'innoncents) ou un connard comme Poutine joue aux echecs avec la paix du monde et ou bien sur l'ecologie, la disparition des espaces animales et vegetales ne fait pas partie des priorites de nos bons dirigeants qui veillent sur le bon peuple incredule et aveugle.

Alors oui le blues etait parfait pour ce shabbat matin et cet album encore plus.

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