Yet another עולה חדש... Tome 6 : 4 kids on the block

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vendredi 22 avril 2016

Un Shabbat, un album et un homage (épisode 12)

Putain d'année, David Bowie, Lemmy et tous les autres c'etait pas suffisant pour la faucheuse, elle fait des heure super et en cette veille de pessah et de shabbat, quand les croyants en israël font disparaître les dernières miettes de hametz, voilà, qu'elle nous un membre de la famille royal du rock'n funk, le Prince nous a quitté pour rejoindre les autres étoiles du cosmos a 57 printemps. Fuck! C'est en rentrant tard ce soir du travail que j'ai entendu la triste nouvelle. Alors la radio a passé un extrait de ses concerts ou il disait que l'homme n'a en fait qu'un birthday, celui du jour ou il nait, ce jour spécial ou une âme rejoint un corps pour lui donner l'étincelle de vie. Et qu'en fait le reste n'est pas important peu importe combien de jours il te reste a partir de cet instant ou la force qui gouverne l'univers/dieu t'a donné cette chance.

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dimanche 17 avril 2016

Un Shabbat, un album (episode 11): the Stooges, l'eponyme et le Record Store Day 2016

Et la, Public, tu te dis, c'est qui l'eponyme? Un nouveau redacteur du blog?

Mais non, the Stooges est le phenomenal premier album du groupe de rock américain éponyme les Stooges de l'iguane contortioniste sur deux pattes, Mr. Iggy Pop, produit par John Cale. Il a été édité pour la première fois en août 1969. Deux singles geants en sont extraits : I Wanna Be Your Dog et 1969. Il est largement considéré comme l'un des meilleurs albums de proto-punk. Avec les sons de guitare saturés dU bombardier b52 Ron Asheton, ses solos et textures à la wah-wah et des riffs basés sur des accords d'une puissance atomique, il a également exercé un énorme impact sur le hard rock, le heavy metal et sur bebe Managueure au reveil le matin ce qui a bien sur eu des consequences sur la vie de Managueure et donc sur l'evolution du monde en generale.

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samedi 9 avril 2016

Un Shabbat, un album (episode 10), Monophonics: in your brain, pour les monomaniacs de la funk

Les Monophonics est un groupe funk (l'un des tous meilleurs actuels) dont les membres ont ete bibronnes a tout ce qui contient les mots funk et psychedelique de-dans et nous vient de San Francisco. Ils rappellent bien sur d'autres groupes reliant les deux univers comme Sly Stone et la family, Funkadelic, les Temptations ou bien les productions de la Motown, les californiens de Monophonics ont créé une musique aux accents psychédéliques, heavy funk et soul très imprégnée de l’histoire de leur ville, cette ville ou je finirai bien par m'y rendre un jour, le coin des rues haight-ashbury, pour bientot j'espere.

Leurs deux premiers albums sont litteralement geniaux pour qui aime les styles de musiques evoques ci-dessus. Pour ce post, on va s'attacher a parler de leur premier lp "In Your Brain" et cet album s'inscruste dans ta tete comme un bon petit acide, et doucement doucement, la purple haze s'invite a la danse au son d'un P-Funk sortant tout droit des marecages brulants de Louisianne.

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Pour votre souvenir, Maestro, Frankie Knuckles, le tsunami d’amour (1955 – 2014)

Deux que le maestro Franckie Knuckles a quitte ce monde pour un autre meilleur, deux que le rois des DJ, le Godfather of House s'en est alle rejoindre son pote la legende Larry Levan du Paradise Garage. Deux ans que vous manquez aux amoureux de la house music, aux romantiques accros a la soulful de vos albums, mixs, remixs ou edits.

Je suis entrain de reecouter votre premier album en vinyle, il va de soi et quand j'ecoute le dernier morceau si gospel soon I will be done, on sent que vous y avez mis votre ame et ca en fait la plus belle chanson du monde pour moi qui ai eu la chance de vous voir mixer deux fois a Londres au Egg club et au Block de Tel Aviv. Bien sur, lors de ces deux soirees, vous n'avez rien laisse paraitre de vos problemes de sante.

Et moi j'etais juste la a vous regarder mixer, admiratif et heureux d'avoir en face demois la legende du mix et de la house. Pour cette soiree a Londres un soir d'avril, je me rappelle avoir ete decu par votre mix (c'est bien connu, on supporte encore plus mal la deception, quand ce la vien de ceux qu'on aime), trop techno, je voulais de la vraie house, du garage, je voulais vibrer et helas ca n'a pas pris, surement a cause du public, trop Anglais et qui a un peu je pense oublie sa culture rave et acid house. Mais a Tel Aviv, la c'etait le pied, la revanche du Maitre et moi j'ai pris le mien en tous les cas.

Je me rappelle vous regarder attendre patiemment que le rpecedant DJ finisse son set et repondre avec sympathie aux saluts respectueux des chanceux presents ce soir la et vous demandant de se faire prendre en photo avec vous. Moi j'en crevais d'envie et malheureusement, je n'ai pas ose, je ne voulais pas vous deranger, je ne le regrette pas d'une certaine facon, puisque pendant tout votre set, j'etais a dix centimetres de vous buvant les sons sortant des enceintes du block. Didier Lestrade, un ancien du journal Libération voyait ses disques comme un dessinateur de la musique, conçus pour voyager dans les airs. Et bien moi ce soir la au block, j'etais pas dans les airs mais dans le cosmos surfant tel le silver surfer parmi les etoiles que vous avez finis par joindre et qui grace a vous brillent un peu plus depuis depuis deux ans. J'avais l'impression d'avoir remonter le temps jusqu'au Warehous de Chicago, votre deuxieme maison, « Le Warehouse : (…) C’était une ambiance très spirituelle, très poignante… Ce qui était incroyable dans le mid-west, où les bouffeurs de maïs sont des gens plutôt terre-à-terre» vous avez confiez plus tard au site residentadvisor.net. Et c'etait ca qui faisait de vous le plus grand d'une certaine facon, le spirituel que vous insufliez dans vos productions. Vous disiez pour votre 3eme album « A New Reality » avec un certain mojo retrouvé, « Je ne veux pas qu’on me tienne pour responsable de toute la merde qui sort en ce moment. (…) Je crois qu’on a atteint un tel niveau de connerie dans la dance qu’elle est vouée à disparaitre. Partout, il n’y a plus que de la musique jetable ! C’est la raison pour laquelle je suis retourné en studio pour me remettre à faire du son ».

Je me rappelle les quelques jours apres l'annonce votre deces, le concert de louanges dans le medias Francais et internationaux, et la deux ans apres, une petite recherche sur google, par curiosite, et RIEN, ZERO, hormis votre page facebook, putain de monde grangrene par la merde et la connerie humaine.

Alors pour toi Public, hisoire de connaitre un peu de la legende Frankie Knuckles, un copie coller de ce que disait Nicky Siano, lui aussi une legende du Djing (que j'ai eu la chance de croiser un apres-midi house a Tel Aviv) et propriétaire de club depuis 1971, quelques jours a l'annonce du deces de Mr. Knuckles.

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samedi 2 avril 2016

Un Shabbat, un album (episode 9), Montana: I love music

Frankie Knuckles etait le godfather de la house, eh bien Vincent Montana, Jr., né le 12 février 1928 à Philadelphie et mort le 13 avril 2013 etait quant lui pour les connaisseurs le godfather du disco. Mr. Montana etait tout d'abord vibraphoniste, producteur, compositeur et arrangeur et a commence sa carriere comme jazzman dans les nightclubs dans les annees 40 avec Charlie Parker, Sarah Vaughan, Clifford Brown ou bien Red Garland.

Apres plusieurs annees de perigrinations, il est devenu membre du celebre groupe de Philadelphie MFSB, l'etape d'avant le sommet avec la fondation du Salsoul Orchestra, l'orchestre officiel de la Mecque du disco c'est a dire le label Salsoul Records, le Maitre, tel Prométhée qui vola le feu aux Dieux pour le donner aux hommes et qui a cause l'ouverture de la boite pandore, Mr. Montana a quant a lui vole le flamme magique du disco aux Dieux pour la partager avec l'humanite.

Helas, comme pour la legende de Prométhée, les dieux se sont aussi venges lasses qu'ils etaient de voir la planete s'amuser avec cette musique festive qui rendaient les gens heureux; avec la Disco Demolition Night (« Nuit de destruction du disco ») du 12 juillet 1979 au stade de baseball de Comiskey Park à Chicago. Dans le cadre d'un double match entre les White Sox de Chicago et les Tigers de Détroit, une caisse remplie de disques de musique disco est détruite à l'aide d'explosifs au milieu du stade par l'ayatollah Steve Dahl vexe de s'etre fait lourde de sa station de radio quelques annees avant a cause l'influence grandissante sur la jeunesse americaine du tsunami disco et qui a surfe sur le cote raciste et homophobe d'une partie de ses auditeurs pour se venger.

Cette intro etant pour la petite histoire.

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